Buongiorno, come stai ? prêts pour une nouvelle journée milanaise ? Voilà déjà le 5eme article sur notre séjour du 3 au 9 mai 2018 à Milan. Pour les précédents billets, c’est à la rubrique « Italie » 🙂
Dimanche 6 mai. Le soleil nous fait toujours l’honneur de sa présence. Il faut savoir qu’à Milan (et d’ailleurs dans toute l’Italie) les musées (nationaux mais pas seulement) sont fermés le lundi.
Donc ce dimanche, même si nous avons prévu d’aller découvrir l’un des lacs au Nord de Milan pendant notre séjour, nous préférons reporter cette escapade au lendemain.
Je vous retrouve à Prague, toujours à l’Ouest de la Vltava.
Après la visite du Château, nous avons arpenté les escaliers monumentaux et les rues pavées du quartier de Hradcany, pour descendre tranquillement vers l’ Île de Kampa, au bord de la Vltava. Un peu plus tard pendant notre séjour, nous sommes allées faire une escapade du côté de la colline de Petrin.
Comme souvent, nous avons beaucoup marché, nous avons aimé tout ce que nous avons découvert, mais nous sommes passées juste à côté de certains endroits connus quasiment sans les voir, attirées par d’autres points d’intérêt. Nous avons laissé de côté les guides pour errer au gré des rues, des parcs, des sculptures croisées sur notre chemin. C’est donc un peu comme ça, au petit bonheur la chance, que je vous livre ces souvenirs partiels…
Hradcany
Les escaliers du château
Les escaliers qui permettent de quitter le château et le quartier d’ Hradcany sont larges et bordés de jolies façades colorées…
Wayne, (Just Ard) notre ami photographe Gallois et inspirateur de plusieurs groupes sur flickr et du site street and urban photography(fall into street)nous a quitté il y a maintenant un an.
Grant (Mister GC), l’un des plus assidus membres du groupe flikr « five fall into adventure » a eu la belle idée de lui rendre hommage en demandant à chacun de ceux qui connaissaient Wayne (que ce soit à travers « les internets » ou dans la vraie vie) de choisir et de commenter une photographie prise par notre cher ami.
L’article« A tribute to Wayne » recueille une douzaine de témoignages, accompagnés chaque fois d’une photo choisie parmi les centaines que compte la galerie flikr de Just Ard. Je voulais le relayer sur mon blog, Wayne ayant été l’un de mes « mentors » quand je me suis intéressée à la photographie de rue.
Le billet est en anglais, mais un passage par le traducteur de google vous donnera le ton de ceux qui lui rendent hommage.
Les photos choisies sont pour la plupart pleines de sourires, tant Wayne avait le don de rentrer facilement en contact avec les gens qu’il photographiait.
Justalook fait une toute petite rentrée, sans beaucoup d’enthousiasme. L’appareil photo dort au fond du sac la plupart du temps, je perds la main et l’inspiration, c’est sur.
Déjà un mois que je vous ai quitté, avec ce dernier article sur Caillebotte.
Les articles de Thomas Hammoudi, en particulier celui-ci » de l’art de l’édition »m’ont beaucoup intéressé, et en même temps désespéré ! Il revient en autre sur la notion de genre, de style et de projet. A force de se dire qu’il faut tout ça pour continuer à (re)trouver l’inspiration, ça me décourage.
Il a raison de dire qu’il ne suffit pas de se contenter d’un genre photographique (ou de plusieurs). La photo de rue par exemple, c’est tellement large que ça en devient mortellement ennuyeux, si ce n’est pas porté par une idée précise, un projet, et dans le meilleur des cas par un style personnel. Et au bout de quelques centaines de photos, on finit par se dire « à quoi bon ? »
Je suis allée passer quelques jours à Paris début juillet, comme je le fais environ deux fois par an, pour assouvir ma soif d’expo et de balades urbaines. Ma petite soeur, qui est rarement venue à Paris et qui n’en connait que les endroits les plus touristiques, n’était pas encore allée visiter le Centre Pompidou. C’était l’occasion de « grimper dans les tuyaux » (les escalators de la façade !) et de faire d’une pierre deux coups : le même billet permettait de visiter l’expo du photographe Walker Evans ET celle du peintre David Hockney.
J’étais plus attirée par l’expo photo, et ma soeur par la rétrospective du peintre anglais, nous avons donc passé une bonne demi-journée à arpenter les salles dédiées à ces deux artistes. Je vous présente ici plus en détail l’exposition consacrée à Walker Evans, mais je vous dirais quelques mots de David Hockney, en totale néophyte.
Walker Evans, un style vernaculaire
Vernaculaire, selon Wikipédia : du latin vernaculus, « indigène », désigne originellement tout ce qui est élevé, tissé, cultivé, confectionné à la maison, par opposition à ce que l’on se procure par l’échange. La langue vernaculaire, ou le vernaculaire, est une langue parlée seulement à l’intérieur d’une communauté en général réduite.
L’exposition Walker Evans au Centre Pompidou (26 avril au 14 août 2017) consacre une rétrospective de l’oeuvre de ce photographe américain sous l’angle de son style « vernaculaire ».
L’expo Walker Evans
Walker Evans (son prénom lui va comme un gant, le « marcheur ») a traversé le XXème siècle (1903-1975) en documentant la culture populaire américaine. Il est l’un des premiers « photographe de rue ». Il se passionne, sa vie durant, pour le quotidien, l’utile, le populaire, le local.
Profils
Il photographie des objets tout bêtes, des affiches, des devantures de petits magasins, des écriteaux…
Damaged. Truck and sign 1928-1930
Quand il photographie les gens, c’est à la sauvette, dans le métro, ou à l’angle d’une rue. Il créé ainsi des séries de ces « portraits », sans mise en scène. Il utilise souvent des cadrages frontaux et des lumières naturelles.
Detroit pedestrians, for series « Labor Anonymous », 1946
Il est sans doute plus connu pour son projet de documentation de la vie des familles de métayer en Alabama, en 1936, avec ses deux portraits emblématiques (dont l’un est l’affiche de l’exposition).
Le centre Pompidou présente plus de 300 tirages de ses photographies, mais aussi des collections (objets, affiches, cartes postales) ayant appartenu à Walker Evans.
Petits formats et grandes quantités
Une photo en très grand format accueille les visiteurs de l’exposition, une modeste boutique en bois dans une rue de New York, sur laquelle le mot « Photos »apparaît plusieurs fois. Un cliché assez représentatif de son style « documentaire ».
Studio Photo
Puis on traverse les différentes salles, où la majeure partie des photographies sont exposées en petit format, parfois en série. Se mêlent au travail du photographe, ses collections de cartes postales, ou d’affichettes de publicité.
Collections
La photographie elle-même
Petits formats
J’ai bien compris le sens de cette mise en scène. L’attrait de Walker Evans pour les objets populaires est montré autant par ses propres photographies que par ses collections d’images. Mais j’ai trouvé que ce mélange nuisait à la compréhension de son oeuvre, de ses projets.
Les formats de taille réduite (souvent de l’ordre de 20X30 cms, voire moins) obligent le spectateur à se rapprocher pour apprécier le détail d’une photographie.
Très petits formats
De plus, c’est comme si on avait voulu jouer sur l’accumulation des photos, ce qui, à mon humble avis, atténue l’impact de chaque image. Je suppose que c’est compliqué pour un commissaire d’exposition de faire une sélection drastique.
Quand je vais voir une expo, je m’attends à en prendre plein les yeux, et à voir des photographies dans un format suffisamment grand pour les apprécier.
Mais si les photos sont d’un format qui loge dans un livre, alors autant acheter le bouquin…
D’ailleurs, l’album résumant l’exposition est beaucoup plus sélectif, et ne retient que les « meilleures » photos, en tout cas pour moi, les plus emblématiques.
Lors de ma visite, j’ai tenté de prendre en photos certains clichés, qui m’attirait plus que d’autres, et il se trouve que ce sont ceux retenus dans cet album. Je vous épargnerai certaines de mes propres photos, qui ne rendent rien. Juste quelques visiteurs qui détonnent devant les images en noir et blanc.
En revanche, Walker Evans étant aussi un producteur de séries photographiques, il était intéressant de les voir dans leur intégralité sur un mur, et le petit format se justifiait plus. Il a été précurseur des photos prises dans le métro, ou sur un trottoir, et la série des passants par exemple (Detroit Pedestrians, Labor Anonymus, 1946) est assez fascinante.
Série de passants
Au fur et à mesure que je découvrais les photographies de Walker Evans, je me disais qu’il avait sans doute été un précurseur et un inspirateur pour beaucoup de photographes plus récents, et que la banalité des sujets était pour son époque une nouveauté.
Les devantures, les détails d’architecture, les affiches déchirées, les affiches publicitaires ou les enseignes, les ruines, les lieux abandonnés… sont autant de sujets qui reviennent souvent dans des séries actuelles, mais qui n’ont plus pour moi beaucoup d’intérêt. Nous sommes tous des nains sur les épaules des géants…
Toujours une leçon pour le regard
Walker Evans lui-même a été inspiré par Eugène Atget qu’il a découvert grâce à la photographe Berenice Abott.
Citation : « Vous ne voulez pas que votre œuvre vienne de l’art ; vous voulez qu’elle prenne origine dans la vie ? C’est dans la rue qu’elle se trouve. Je ne me sens plus à l’aise dans les musées. Je n’ai pas envie de les visiter. Je ne veux pas qu’on m’apprenne quoi que ce soit. Je ne veux pas voir de l’art ‹ accompli ›. Je m’intéresse à ce que l’on appelle le vernaculaire. » Walker Evans, entretien avec Leslie Katz (1971). L’évènement Walker Evans au Centre Pompidou
Pour résumer mon sentiment, une exposition intéressante et très riche sur ce grand photographe du XXème siècle, mais presque trop dense. L’album de l’exposition (9.50€) est en revanche un must à conserver précieusement.
L’exposition David Hockney se déroule du 21 juin au 23 octobre 2017. Vous avez donc tout le temps d’aller la visiter, et j’avoue que nous avons été vraiment séduites par la découverte de cet artiste assez iconoclaste.
« Je préfère vivre en couleur » – David Hockney
«A Bigger Splash» (1967), acrylique sur toile de David Hockney.
L’exposition célèbre les 80 ans de l’artiste qui semble avoir toujours bon pied, bon œil : certains tableaux ont même été terminés spécialement pour l’exposition ! cela donne le ton de cette rétrospective, tonique, joyeuse, un peu subversive, avec un artiste en perpétuelle évolution.
Prendre des photos est interdit. Nous nous sommes donc concentrées (peut-être un peu plus que d’habitude, d’ailleurs) sur les œuvres, qui sont présentées de façon chronologique.
A chaque pièce correspond une étape de la vie de l’artiste, ses créations évoluant au fur et à mesure de sa vie personnelle, de ses rencontres, de ses lieux de vie. C’est passionnant, car David Hockney « absorbe » les influences des grandes maîtres, et les transforment en un style chaque fois renouvelé mais unique.
A la fin de notre déambulation à travers les grandes pièces lumineuses, nous avons presque eu l’impression d’avoir vu une exposition de plusieurs peintres différents.
C’est un peu comme si cette rétrospective rendait hommage à l’art du XXème siècle.
Les tableaux sont en grand, voire en très grand format, et on en prend plein les yeux.
Ses tableaux les plus célèbres, les piscines, les doubles portraits, les paysages monumentaux et colorés sont un régal pour les yeux. De plus les commentaires dans chaque salle permettent de comprendre les influences de l’artiste, qu’il a su détourner et modeler à sa façon.
« Portrait of an artist (Pool with two figures) » (1972)
L’artiste s’est aussi passionné pour les outils techniques de reproduction des images, au fur et à mesure qu’ils apparaissaient : il a utilisé le fax de façon étonnante : il transmettait son oeuvre en envoyant des feuilles A4, qui mises bout à bout, composaient un tableau.
«9 Etudes sur toile du Grand Canyon» (1998), huile sur toile de David Hockney
Il a aussi largement utilisé la photographie, en créant des « puzzles » immenses composées de centaines de photographies.
Il s’est aussi servi de l’I Pad, de la vidéo. On peut ainsi admirer un paysage filmé à chaque saison, composé de 9 images mouvantes. Je ne sais pas si je suis très claire, mais si ça vous intrigue, je vous conseille vivement d’aller le voir vous-même !
« la création artistique est un acte de partage » C’est Hockney qui le dit…
Je vous ai déjà donné quelques aperçus de Milan ici ou là, je vous invite maintenant à découvrir ce qui fait quand même la réputation de cette ville : les vitrines, boutiques et autres passages. Comme d’habitude, c’est un mélange très subjectif, car plusieurs articles ne suffiraient pas à illustrer la variété de ces petits magasins.
Fin de soirée
Un certain nombre des boutiques chics sont concentrées dans le quartier de Brera et dans le quadrilatero d’Oro, mais d’autres petites échoppes valent le détour dans d’autres coins de la ville. Je vous livre donc ces vignettes un peu dans le désordre, juste pour le plaisir des yeux. Au moins, vous n’aurez pas à sortir la carte bleue 😉
Je vous ai fait découvrir mon petit périple hivernal à Annecy ici et là. Je me suis plutôt focalisée sur l’architecture et les paysages, et il y a de quoi. Mais on ne se refait pas ! au détour d’un passage, d’une arcade, d’un lieu intéressant, j’ai quand même trouvé un peu de matière pour la photo de rue. J’en ai disséminé quelques-unes dans les articles précédents, quand elles étaient raccord avec les visites du centre ville et des alentours du lac.
J’en ai regroupé d’autres ici, pour prendre le temps de vous parler des circonstances de la prise de vue, de ce que j’ai pu à peu près réussir, et ce que j’ai raté.
Indoors
Entre la gare et le lac, à la limite de la vieille ville, en attendant une éclaircie, nous nous sommes posés un moment au centre culturel Bonlieu. On y trouve l’office de tourisme, mais aussi un théâtre, une bibliothèque, et un café BD, BD Fugue, très sympa.
Une lieu agréable, avec des chaises de couleurs, disséminées sous une belle verrière.
Verrière Bonlieu
Il y a de l’espace et de la lumière, de la couleur et des lignes, des personnes qui flânent, ou s’installent un petit moment au calme. Tout ce qu’il faut pour attirer mon attention !
Des chaises colorées
J’y ai trouvé un grand mur à panneaux et à trous trous, qui n’attendait que de bons clients pour constituer un arrière-plan graphique…
Sous la météo
Je me suis bien amusée à observer ce couple qui profitait aussi d’une petite pause. J’étais seule, en plein milieu de l’agora, penchée sur mon écran orientable, j’ai eu tout le temps de cadrer et d’attendre leurs expressions. Pas une seule fois, ils n’ont fait attention à moi.
Je n’avais que l’embarras du choix entre plusieurs clichés, j’ai donc pu tester un format carré, un en 16/9 et un plus classique en 3/2 en noir et blanc…
On est bien, là !
Bon, bé c’est pas tout ça !
J’aime bien les trois, même si ma préférée est celle en format 16/9 pour les expressions du couple, le bonnet bleu du Monsieur et l’alignement des chaises de couleur.
Un peu plus tard, deux dames et leurs toutous arrivent, je n’ai pas pu les louper !
une jolie paire fois deux
Avec un arrière plan comme celui-là, j’essaie en général de me mettre tout à fait en face de mes sujets. Pas de perspective, juste deux dimensions.
Là j’ai pris une dernière vue en m’éloignant, juste pour avoir un le petit rai de lumière bleu au sol, assorti à l’une des chaises. Tel maître, tel chien, non ?!
Sur le côté
J’ai suivi ces deux « nettoyeurs » (hommage à un boulot pas facile, afin que nous profitions mieux des lieux), juste pour le plaisir des juxtapositions de couleurs. La netteté sur les personnages n’est malheureusement pas au rendez-vous. Erreur de débutant, il eut fallu que je passe mes réglages en mode C-AF…
Assortis
Outdoors
Retour dans la vieille ville, où tout un tas de bistrots sympas disposent de terrasses bien protégées par les arcades.
J’ai aussi pris le temps d’observer ces deux personnes, qui se détachaient du fond plus sombre, et qui échangeaient avec ardeur. Peut-être une discussion sur la prochaine élection ?!
Bonnet rouge et chemisier bleu
J’ai capter à quelques secondes d’intervalle une autre interaction. C’est le plaisir de la street photography : un même lieu, les même personnages, et à une seconde près des histoires différentes…
Echanges conviviaux
Un peu plus loin, je suis aussi restée un moment à guetter les silhouettes qui passaient sous ce porche, j’adore la texture des pavés et des murs avec ces vieilles pierres toutes différentes. En revanche, je me serais bien passée de la pub du crédit agricole au fond. J’ai bien essayé de modifier l’angle de prise de vue, mais je perdais alors le détail des pavés…
Pavés assortis
Silhouettes
Le cadre dans le cadre, ça marche toujours, surtout avec des arcades pittoresques comme celles-là. J’ai demandé à Fanny de me faire un petit coucou pour animer l’image. Et comme elle a toujours le sourire… 😉
Encadrée
Je suis assez contente de la succession de plans. Le format carré, et le noir et blanc se sont imposés.
Une petite dernière le long du lac.
Frisquet
J’aime l’allure de la dame, sa tenue hivernale sombre et son parapluie blanc. On dirait qu’elle lutte contre le temps humide…elle contraste avec les joggeurs en tenue de sport en arrière plan. Mais je l’ai prise à la volée et elle n’est pas suffisamment nette.
Comme je n’ai pas eu le temps de cadrer correctement, on dirait aussi qu’un arbre a poussé sur son chapeau ! Quelques secondes plus tôt, et un demi mètre de côté et ça aurait pu être une bonne photo.
C’était l’intermède Street Photography commentée !
Je vous retrouve bientôt pour un article plus touristique (bien qu’encore très humide !) pour une balade sous parapluie du côté du Lac Léman.
Vous avez certainement remarqué qu’il y a du relâchement dans le rythme des articles de ce blog. Et pour cause : voilà un mois que je n’ai pas sorti l’appareil photo, ou presque.
Soir de décembre, après une longue journée, Royan 2016
Il a fait chaud, mais alors très chaud à Paris fin août. 37° C à l’ombre (98°F). Une canicule qui vous assomme et vous donne juste envie de rester sous un jet d’eau fraîche ! Mais je ne pouvais pas changer les dates de ce petit séjour parisien, du 25 au 28 août, et j’ai tenté d’en profiter au mieux.
Je ne suis plus en vacances, et les occasions de sorties photos sont moins nombreuses.
Les petites baigneuses
De plus, certains d’entre vous sont peut-être en villégiature, et ne m’en voudront pas si je ralentis un peu le rythme des articles. Une fois par semaine, voire tous les 10 jours seulement, je ferais un petit point d’étape… Ceux qui me suivent sur flickr savent que je n’arrête pas totalement mon activité photographique, mais en mode dilettante.